1 095 894 singles vendus en 1 jours pour leur dernier single « Koisuru Fortune Cookie ».
1 450 881 singles vendus en 1 jour pour leur précédent single « Sayonara crawl ».
1 035 986 singles vendus en 1 semaine pour leur 30e single « So long ! ».
1 073 499 singles vendus en 1 semaine pour leur 29e single « Eien pressure ».
1 128 696 singles vendus en 1 semaine pour leur 28e single « Uza ».
Et je pourrais remonter au moins jusqu’à leur 21e single (« Everyday katyusha ») sans que les ventes ne descendent sous la barre du million en 1 semaine. Difficile de ne pas voir l’évidence. Les AKB48, un groupe d’idol, est le groupe qui vend le plus de single au Japon depuis quelques années maintenant, enchainant les records aussi bien en terme de nombre de copies vendues qu’en terme de longévité à la tête des classements.
Il est bien loin le temps de « Namida surprise » (12e single) et de ses 104 000 exemplaires vendus la première semaine, le single qui m’a fait découvrir le groupe alors qu’il venait à Japan expo en 2009. Passer de Japan expo au Tokyo dôme en seulement 3 ans n’est pas à la portée de tous, pas besoin d’aimer le groupe pour reconnaitre cet état de fait. Je ne vais pas expliquer ce succès et cette montée en puissance parce que je n’en ai pas envie. Je suis pas sociologue ni analyste même s’il m’est arrivé de me prêter au jeu de la réflexion analytique.
Je vais plutôt vous parler de ce concert que j’ai fait au Tokyo dôme et du choix de participer à ce concert. Je ne le cache pas, j’aime des groupes d’idol. Jusqu’à fin 2011 plus ou moins, c’était même le style de groupe/musique que j’écoutais le plus. J’achetais beaucoup de cd, je suivais les émissions de télé dans lesquelles apparaissaient les groupes que j’aimais, etc, etc. Puis j’ai fait des économies pour cette années entrainant de ce fait moins d’achats et par la même, un relâchement du suivi que je faisais sur beaucoup de groupes. Les AKB48 était celui que je suivais le plus et c’est à cette période que J’AI commencé à trouver que les singles étaient moins bons. Pratique quand on veut économiser son argent.
Pendant l’année passée, en terme de musique, j’ai vu et entendu de tout. De l’idol quand mes amis fan d’idol étaient là, et tout le reste quand j’étais moins accompagné. Etant au Japon, il m’était impossible d’échapper aux AKB48 tant elles sont partout : pub télé, dans les métros, dans les magazines, les produits alimentaires, etc. Et c’est encore pire quand un single sort.
C’est cool quand on est fan hardcore mais honnêtement, on sature assez vite. Pourtant, quand l’annonce d’une tournée d’été avec la plupart des Dômes (les stades de baseball) du pays a été faites, se concluant par 4 dates au Tokyo dôme, peu importe mon niveau d’appréciation actuel du groupe, je devais y participer ! Je me suis donc inscrit sur le site internet des AKB pour avoir le droit de participer au tirage au sort qui me donnera le droit d’acheter une des 45 000 places mise en vente… si je suis tiré au sort. La galère vous dites ? Un peu mais leur succès est tel qu’il faut en passer par là pour que les chances soient équitables. Et j’ai eu une place pour le 2e concert, celui du 23 août.
Pourquoi je voulais y aller malgré mon intérêt diminué… parce que c’est au Tokyo dôme déjà et qu’on a pas tous les jours l’opportunité d’assister à un show dans une salle de 45 000 personnes (55 000 max). C’est une salle mythique, elle a une aura, un truc en plus ! Pour un artiste, faire le Tokyo dôme, c’est un signe de réussite. Je n’ai jamais fait de salle aussi grande et si je devais faire un équivalent avec ce que j’ai fait de plus grand, c’était le stade d’Osaka pour le A-nation (50 000 personne + la pelouse) mais ce n’est pas une salle fermée donc niveau ambiance/vision des artistes, c’était assez bof.
Mais en dehors du lieu, il y a aussi le fait que j’ai aimé une vingtaine de single, un bon paquet d’albums de Stage et que sur l’ensemble de leur chansons, il y en a beaucoup que j’aime tout simplement.
Le concert commence à 18h mais l’ouverture des portes se fait à 16h. Il y a 45 000 personnes à rentrer donc étaler ça sur deux heures n’est pas une mauvaise idée. Ca pourrait largement être fait en moitié moins de temps vu le nombre de portes que possède le dôme et l’organisation toute japonaise que le staff a mis en place. Avant de rentrer, une personne vérifie le nom sur le billet avec notre passeport/carte d’identité, une autre vérifie notre sac et enfin une dernière valide notre billet. 5 minutes pour rentrer grand max !!! Je suis dans la tribune la plus haute, troisième rang sur le côté gauche de la salle.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est grand, très grand ! Et la scène est elle aussi très grande, malgré la distance. Un stade de base-ball, ça n’a pas la forme d’un stade de foot. Ce n’est pas un ovale mais un V donc on est presque plus proche de la scène en étant sur les côtés comme moi qu’en étant bien en face. Le must reste d’être dans la fosse et encore. Vu que la scène est en croix, c’est pas dit qu’on ait toujours quelqu’un devant soi.
Parlons-en de la scène tiens. A l’image du dôme, immense. Elle est ultra large et s’avance vers toutes les tribunes avec sa forme en croix. A chaque bout, on trouve une scène plus petite. La scène principale abrite tout le décors et c’est classe. C’est plus qu’un concert qu’on nous propose, c’est un vrai spectacle avec une mise en scène, une « histoire » et un décors en accord avec tout ça.
Sérieux, y’a des containers de bateau empilés sur la scène. Genre plein ! Et pourtant, ils paraissent si petits ! On se rend pas compte de l’échelle du lieu en vrai mais en photo, vous ne pouvez même pas le soupçonner. Ces containers sont la base de « Junk town », la ville imaginaire crée par les AKB48 dans cette histoire. C’est ce que nous raconte l’intro mi-dessin animé mi-images réelles. Ambiance steampunk, presque Madmax dans l’âme. Une impression renforcée par les gerbes d’étincelles produite par les filles qui manient des scies circulaires pendant la mise en place scénarisé des intervenantes de la soirée . Les containers sont en mouvement et petit à petit, touuuuuuuutes les filles entrent sur scène. Ca fait donc plus ou moins (désolé j’ai pas compté), une cinquantaine de AKB, une trentaine de SKE, de NMB et de HKT. Je le fais à la louche hein. On a dépassé la centaine de toute façon donc arrivé à ce genre de chiffre, on est plus à quelques dizaines près.
Ah ouais, j’ai oublié aussi. Vous savez l’intro de tous les concerts/lives des AKB ? Mais si voyons, la grosse voix qui crie « A-K-B forty-eiiiiiiiiight » et tout ce qui vient avant. Bah avec 45 000 personnes qui gueulent en même temps, c’est magique. On se sent à la fois tout petit et en même temps totalement transporté par l’énergie de la foule ! J’imagine même pas être sur scène et se prendre de plein fouet toute cette force ! Nan mais j’oublie trop de chose en fait. Car quand les lumières s’éteignent pour cette intro, se dévoile devant nos yeux un spectacle à couper le souffle. Chaque personne du public a à la main 1 voir plusieurs glowsticks. C’est une marée de lumière qui s’agite au grès d’une pulsation musicale, d’un courant rythmique, sonore. On croirait voir une sorte d’eden sous-marin de plantes bioluminescentes, agités par les vagues de l’entrain et de la passion. Je n’ai jamais vu autant de glowsticks réunis au même endroit. C’était trop beau.
Intro du 1er concert au Tokyo dôme l’année dernière.
Il y a plusieurs choses qui rentrent en ligne de compte pour qu’un concert soit bon. Il y a la prestation des artistes, la mise en scène et les effets, la playlist et enfin l’ambiance générale du public.
La prestation des artistes, c’est un peu primordial quand même et là-dessus, on ne pouvait pas être déçu. Elles sont tellement nombreuses que globalement si certaines sont pas top, elles sont noyées dans la masse. Le niveau est élevé, aussi bien en danse qu’en chant. Et ouais, en chant ! Ca vous la coupe des idols qui savent chanter ! Vous pensiez sérieusement qu’après 7 ans de concert quasi-quotidien (pour les plus anciennes), elles ne sauraient pas chanter ? Ah non, vous pensiez que ça serait du playback ! Y’en a eu pour certaines chansons en effet mais c’était pas la majorité loin de là ! Et j’en étais le premier surpris pour être honnête. Des surprises comme ça, j’en veux plus souvent !
La mise en scène allait du très classe (avec les étincelles, les flammes, les containers en mouvement, les lasers et les jeux de lumières ainsi que d’autres surprises) au « juste normal ». Normal pour un concert des AKB en tout cas, avec un enchainement de chansons fluide, des apparitions de groupes ou de membres à divers endroits de la salle ainsi qu’une bonne occupation de l’espace gigantesque qu’elles avaient à leur disposition. Il ne faut pas sous-estimer le travail des chorégraphes qui doivent revoir à chaque concert de ce type les placements des filles ainsi que la coordination de l’ensemble des membres. Et les filles de bien mémoriser tout ces changements.
La playlist était à tomber. On aurait frôlé la mort cérébrale à deux-trois chansons près, comme « Kimi no koto ga suki dakara », Iiwake maybe », « sakura no shiori », « blue rose »… Mais attendez, on a eu 50 chansons quand même ! 50 !!!! Je ne vais parler que de celles qui m’ont fait rater un battement de cœur, même si ça en fait un petit nombre.
Maria. Alors pour ceux et celles qui ne le savent pas, il y a chez les AKB des chansons qui sortent du lot. Pas juste pour moi mais pour une majorité de gens. Des chansons unanimement reconnues comme étant des tueries mais certaines d’entre elles sont un peu vieilles alors on est jamais assuré de les entendre en concert. Ces chansons sont généralement interprétées par des filles différentes à chaque fois, ce qui peux légèrement changer la puissance du titre. Maria fait indubitablement parti de ces chansons et quand il y a Sayaka des NMB en rôle de center, on pleure de bonheur. Nan mais vraiment, c’était une claque d’entendre les voix sur l’intro et de découvrir qui allait chanter. Les vieilles chansons sont les meilleures !
« Kuchi utsushi no chocolate » ou la chanson qui révèle au monde entier le côté sexy de yukirin. Quoi ?Y’a d’autres membres dans cette chanson ? Pas vu ! Et en dehors de toute concidération d’attitude vis à vis de la principale chanteuse, la chanson est classe et pleine de sens… je me comprends.
La chanson favorite de Haruna est aussi celle dans laquelle je préfère la voir : « Heart gata Virus« . La chanson est joyeuse et… bah je sais pas. Elle marche sur moi tout simplement. Rien à dire de plus. Elle est trop bien.
« Kokoro no hashi no sofa« , la chanson unit de yuko. Fan de yuko, je ne suis ni objectif ni raisonnable donc si vous n’aimez pas, je comprends. Mais je serai quand même obligé de vous détester. No offense.
Certains sont faibles face aux chansons « serviettes », moi je suis ultra faible face aux chansons « guitare », celles qui ont un bon rifle, un rythme percutant et qui envoient du lourd alors quand arrive « Itoshiki Natasha« , huuuuummmm je suis joie. Je dis souvent que j’aime pas sasshi mais c’est pas vrai en fait. Même si elle a pris la place de yuko. C’est une vraie chauffeuse de sal(l)e et une bonne animatrice, elle chante bien et elle est drôle. Et c’est un peu sa chanson en plus. Tout ça mis ensemble et vous avez une ambiance de fou dans le dôme, le son faisant vibrer le sol, sasshi nous enjoignant à crier… Pffff, pas facile de retomber sur terre.
Tout ça c’était pour les coups cœur « vieilles chansons ». Mais toutes n’étaient pas si vieille que ça comparé à « Yuuhi wo miteiru ka?« , le 6e single du groupe. Là, on nage dans la nostalgie, comme une madeleine de Proust pour ceux qui suivaient déjà le groupe à l’époque. Il y avait alors beaucoup de membres aujourd’hui partis vers d’autres horizons, c’était le temps de l’innocence et des galères. J’ai pas connu ce temps là mais c’était cool quand même.
Et on a enchainé avec la révélation personnelle de ce concert. J’essaie normalement de pas faire la girouette, de me tenir à ce que je dis et de ne pas travestir mon discours pour faire plaisir aux gens. Et c’est d’autant plus vrai quand on parle de musique. Il y a des chansons sur lesquelles je n’accroche pas du tout et « Uza » fait parti de celles-là. J’ai pas de raison, ça passe pas et c’est tout. Mais là… là… quelques notes ont suffi. La salle plongée dans le noir, les lasers qui s’allument et d’un coup, on est plus dans le Tokyo dôme, on est dans une discothèque géante ! Frisson, montée d’adrénaline et ce son !!! Ce boom qui prend toute son ampleur et sa puissance, ce son qui a besoin de tout ce volume pour se lâcher et révéler son plein potentiel. Ce bruit sourd qui roule sur le sol et ce rythme qui vous appel ! Si j’avais eu de la place, j’aurais sauté partout ! Nan mais écoutez juste le début et imaginez ça au Tokyo dôme ! Je réalise toujours pas en fait comment j’ai pu passer à côté de ça avant !
Ensuite on a eu des enchainements de single des NMB, HKT et SKE48 avec aussi des chansons qui se révèlent. Oki Doki pour les SKE parce que c’est une chanson qui fait participer le public (mais je le savais déjà en fait qu’elle défonçait), Melon juice pour les HKT (pourtant, elle est ridicule mais elle irait tellement bien en générique de fin d’un film d’animation…) et rien chez les NMB qui ait autant de puissance que les autres, même si « Bokura no Eureka » passe bien. Je passe vite sur les chansons « thème » des trois team (A, K et B) parce que « Shonichi » fait pleurer de joie (tout un symbole cette chanson) et que « Korogaru ishi ni nare » est… jouissive. Cette guitare, ce cri du public, cette montée en puissance et cette uniformité dans les voix. C’est la chanson qui rassemble les gens, la chanson de team parfaite pour tout donner !
On associe pas talent et idol en général. Je sais pas pourquoi. Ah mais si ! C’est sans doute pour le plaisir de dire de la merde ! Parce que quand Azuma Rion se met au piano et commence à jouer, on ferme sa gueule, tous ensemble, oui nous les 45 000 personnes présentes et on écoute. Religieusement, avec toute l’attention que mérite ce solo sorti d’on ne sait où, qu’on espérait sans trop y croire et qui nous abreuve de cette chose si précieuse qu’on appelle « talent ». Ensuite on meurt d’un arrêt cardiaque car elle enchaine avec l’intro au piano de « Ponytail to shushu« , THE best chanson maillot de bain/été ever depuis que les AKB sortent un single en mai/juin. Toute personne qui dira le contraire mérite de manger un slip de wota après un concert d’idol. Je ne parlerai pas de « Oogoe diamond » ni de « Heavy rotation » car les mots sont dérisoires. Toi-même tu sais, toi qui connais un peu les AKB, que ces chansons sont mythiques, à deux époques différentes.
Il y a quelque jours est sorti le dernier single des AKB, « Koisuru Fortune Cookie » avec Sasshi en tête d’affiche. Normal donc d’entendre cette chanson pendant ce live. Mais avant ça, pour nous préparer et nous faire participer, Sasshi elle-même avec l’aide de Takamina nous a appris la chorégraphie, assez simple, de manière imagée et comique. Elle nommait les gestes à faire avec par l’exemple l’onigiri, le « haaaaato » (heart à la japonaise), etc. C’était assez rigolo et ça fait un petit break. Sauf que ça a surtout servi d’introduction au moment le plus « What the fuck » de l’histoire des concerts. Sérieux, j’aurais pas cru ça possible. Il faut savoir que les AKB, SKE, NMB, HKT, JKT et SNH 48 sont gérés par beaucoup de personnes en coulisse, dans l’ombre. Le général manager, les manager de chaque groupe, les responsables de théâtre, la « nounou », les maquilleurs, les coiffeurs, les stylistes, les caméraman, les régisseurs, etc etc. Des centaines de personnes donc au bas mot, surtout sur un show comme le Tokyo dôme qui nécessite du personnel supplémentaire ! Ce sont des gens sérieux car il y a des enjeux derrière leur travail, énormément de choses à gérer et des responsabilités à tous les niveaux !
Alors quand la chanson se lance et que touuuuuut le staff précédemment cité monte sur les scènes pour danser sur toute la chanson, tout le monde hallucine ! Les manager, le staff technique, plein de gens dont on ne devine pas la fonction de visu, les mecs de la sécurité qui sont dans toute la salle, les ingénieurs qui manipules les projecteurs en haut de leur colonnes… vraiment tout le monde à danser sur « Koisuru Fortune Cookie ». C’était incroyable quoi !
C’était vraiment une grosse performance de faire apprendre toute une chorégraphie à autant de gens, avec un résultat au top ! Une énorme surprise, pleine d’autodérision et d’humour, la preuve qu’on peut avoir du succès, avoir de grosses responsabilités et savoir quand même s’amuser !
En version pas concert, ça donne ça :
Cette chanson était la première du rappel car il y a toujours un rappel dans les concerts des AKB. C’est prévu à l’avance. Parfois, le public est bon et cri soit « encore » soit AKB 48″. Ca fait classe quand tout le monde est synchro et puis c’est pour jouer le jeu. Mais des fois, c’est de la merde et tout le monde gueule de manière différente des choses différentes. Et ce fût le cas. C’était un énorme bruit de fond agaçant. Pénible.
Les chansons du rappel était bien, elles jouaient leur rôle mais après tout ce qu’on avait pris dans la tête avant, ça faisait pale figure. Pas grave parce que plus de chansons de qualité aurait été dangereux pour mon petit cœur fragile.
Ai-je besoin de faire une conclusion honnêtement ? Ce genre de concert gigantesque, soit ça passe parce que l’ambiance est géniale et qu’on se fiche de ne pas voir les filles de près, soit ça casse parce l’ambiance est nulle et qu’en plus on voit pas les filles de près. On vient pas pour les voir en gros plan de toute façon, pour ça, y’a les écrans géants ou les concerts dans leur théâtre. Tout est une question d’ambiance (ouais je me répète) et celle dont j’ai été le témoin était magistrale ! A croire que l’organisation savait que j’aimais plus les « anciennes » chansons que les récentes et que tout le monde s’est donné à fond pour faire vivre ce live.
Est-ce que pour autant je vais retomber dans la fan-attitude comme avant ? Non. Si je trouve les prochaines chansons bien, tant mieux sinon, je ferai comme jusqu’à maintenant, je regarderai de loin, je ne saurai toujours pas qui est parti du groupe, qui sont les nouvelles membres et quels sont les derniers ragots. J’apprécie le groupe différemment dirons-nous et ça ne m’empêche pas de prendre mon pied quand des occasions pareils se présentent ! J’aurais quand même aimé faire le concert du 25 août, le dernier de la tournée… Dommage pour moi.
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