Voyage Retour

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Oui, je suis en France. Oui, ça me fait plus que bizarre et oui, le Japon me manque déjà.
Mais bon, la transition a été faites en douceur grâce à pas mal de mes amis. A commencer par une nuit blanche avec deux d’entre elles dans la nuit de vendredi à samedi, débutée en se disant « on s’en fou de dormir ! Tu dormiras dans l’avion ». Du coup, j’ai profité jusqu’au bout du Japon et c’était cool ! Grand merci à elles ! Bon, j’ai quand même pas dormi dans l’avion, au mieux je perdais connaissance avant de me réveiller en sursaut à cause de ma tête qui tombait. Pas grave mais le trajet m’a paru long entre Tokyo et Londres. L’escale fût rapide et sans douleur. Juste le temps de changer d’avion, de dire à mes meilleurs amis que j’atterris à 18h50 à Roissy… sauf que j’arrive à Orly ! Quel con !

J’arrive jamais à Roissy habituellement donc j’ai pas réfléchi. Merci à eux d’être venu jusuqu’à Orly quand même et d’avoir passé la soirée avec moi ! La transition est plus douce comme ça et ça m’évite de déprimer, trop réfléchir !  En plus un heureux évênement est arrivé, une naissance, donc le retour est agréable dans ce sens !

En attendant, j’écris mon article de conclusion et je prépare aussi la vidéo qui va avec. Tout ça arrivera sans doute dans la semaine. En attendant, je vais me réhabituer à la vie en France. Surveillez donc le blog pour le looooooooong article final.

8 Réponses

  1. wesh gros bon retour !

  2. Le mec à peine il arrive, il emmerde déjà les gens en se trompant d’aéroport.
    Ok.
    Belle mentalité :/

  3. Ce qu’il ne dit pas c’est que Orly est à côté de chez ses meilleurs amis et Roissy à l’opposé. Bravo monsieur !

  4. je le reconnais, je me suis bien foiré sur ce coup. Mais bon, je vais mettre ça sur le compte de la fatigue.

  5. ha,ha,ha ça me rassure je ne suis pas la seule a foirer mon retour,moi je m étais trompe de jour!

    bon retour donc.

    • Si seulement j’avais pu me gourer de jour… la réhabilitation n’est pas facile en tout cas.

    • Moi aussi j’aurais voulu me tromper… d’année, disons 2016.

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